jeudi, juin 26, 2008

j'entendis les prêtres chanter...

Et voilà mes enfants, l’heure est venue de nous embrasser à chaudes larmes et de se dire adieu. Quand quelque chose ne va plus il faut savoir dire « stop ». Et bien là je vous dis que je m’en vais en mes terres, chasser le gueux (et la gueuse).
Mais aller droit en Bretagne serait terrible, il faut s’arrêter en Anjou. Ainsi donc je vais passer quelques jours dans une charmante demeure angevine où réside un chien de 71 kilogrammes. Que du bonheur. Après je m’en irai en mes terres pour me reposer, lire et bien sûr chasser la gueuse.

Ainsi je vous souhaite du bonheur, de la joie et vous dis à dans deux mois pour les chroniques de la vie parisienne du satyre. Au programme : exposition Mantegna au Louvre (cris de groupie) et puis moi j’ai hâte d’être à Noël, j’adore Noël. Tellement mieux que l’été, le chaud c’est con.


Ce matin en me rasant j’ai écouté du Lully, je l’écoute assez rarement notre tyran musical. Faut dire ce n’est pas du Bach. Mais je me suis aperçu d’un truc : la portée patriotique du Lully. Quand vous l’écoutez vous pensez immédiatement à la France glorieuse de ce bon XVIIème sous notre bon Louis le Grand. Bref…soupir. Puis les splendeurs de Versailles, ah !

Passez donc de charmantes vacances

Satyriquement, faites seller mon cheval.
PS: pour les vacances vous avez le droit au plus beau lied jamais écrit : Erlkönig de Schubert sur un texte de Goethe. Que du bonheur. Chanté par monsieur Fischer-Dieskau, bref du gros quoi. Pour le texte soit vous cherchez soit vous m'appellez. Oui car sans le texte c'est tout de suite moins fun.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

http://www.alexeytitarenko.com/index.html